Peeta ◭ L'argent fait le bonheur.

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Citation :: Williams, Peeta Sky.
La seule vie qui soit passionnante est la vie imaginaire.

NOM ∞ Williams. PRÉNOM(S) ∞ Peeta Sky. SURNOMS ∞ Peet. ÂGE ∞ 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ∞ 13.02.1987. ORIGINES ∞ Américain. MÉTIER/ETUDES ∞Etude d'Architecte concepteur paysager. SITUATION FINANCIÈRE ∞ Aisée. STATUT CIVIL ∞ Célibataire. GROUPE ∞ COLD BEERS. AVATAR ∞ Sean O'Pry.

◇ set fire to the rain.

Drôle, manipulateur, sympathique, jaloux, courageux, rancunier, joueur, moqueur, intelligent, infidèle, malin, violent.

Je passe souvent une main dans mes cheveux pour les recoiffer ✜ Je tiens mes stylos comme une cigarette ✜ Je marche toujours avec une main dans la poche de mon jean ✜ Je mets toujours mes chaussettes avant mon jean ✜ Je me lave déjà le corps avant les cheveux ✜ Je me lave toujours ou presque à la même heure ✜ Je mets pratiquement rien dans mon sac de cour ✜ Quand je sors avec une demoiselle je la tiens souvent par les épaules ou la taille ✜ Je conduis toujours au-dessus des limitations de vitesse ✜ Je ne bois que de la vodka en boite de nuit ✜ Je bois un café tout les matins ✜ Je vais faire mes courses le jeudi soir ✜ Je réserve le vendredi soir au bar ou au boite ✜ Je réserve le samedi pour les soirées avec les demoiselles.

POUR VOUS, QU'EST-CE QU'UN STÉRÉOTYPE ? Un stéréotype est une image déjà conçut, enfin comment dire. C’est un cliché en quelques sortes.
POUVEZ VOUS NOUS EN CITER PLUSIEURS DE VOTRE AVIS ? Les femmes ne savent pas conduire et sont dangereuses en voiture. Les blondes sont stupides, les brunes ont sale caractère. Les noirs ont un sexe plus gros et plus grand que la moyenne.
QUEL EST VOTRE OPINION PAR RAPPORT A LA GUERRE DES SEXES ? C’est peut-être une bonne idée pour se comprendre, les hommes et les femmes sont très différents. Peut-être que si chacun mettait un peu du sien ça irait mieux, inverser en quelques sortes les rôles. Mais au moins chacun peut parler dans cette guerre, donc c’est peut-être la meilleure solution.
PENSEZ-VOUS QUE CELA CHANGERA QUELQUE CHOSE ? Je ne pense pas que cette guerre va permettre de changer grand-chose. En même temps les stéréotypes ont toujours existés, ce n’est pas du jour au lendemain que ça va changer. Ils sont un peu gravés dans notre tête et c’est comme ça. Donc pour moi je ne pense pas que ça va changer grand-chose, peut-être des explications dans les couples. Peut-être que ça ira mieux ou pas du tout.

◇ just the way you are.

« Arrête de te voiler la face, tu n’es qu’une garce comme toutes les autres. Tu ne changeras jamais, ta vie sera toujours merdique. Maintenant dégage de mon appartement okay ? » Peeta un homme à fort caractère, très impulsif et qui s’énerve rapidement. Il était bien trop tard pour le changer après tout non ? Il était ainsi depuis tout petit. En même temps, c’était compréhensible avec des parents comme il avait… Né le treize février mille-neuf-cent-quatre-vingt-sept en Amérique, précisément à Los Angeles. Cet homme là, c’est tout simplement moi. J’ai vécu pendant des années dans un manoir en quelques sortes. Un grand jardin avec piscine et fontaine ainsi que fleurs et haies et une pelouse toujours bien entretenu. Je suis fils unique, j’avais ma propre chambre dès mon arrivé dans ce manoir. Haut comme trois pommes, je pouvais claquer des doigts et j’avais ce que je voulais. Mes parents travaillaient permanence, c’était ma gardienne qui s’occupait de moi autant la journée que la nuit. Elle avait sa chambre collé à la mienne, elle passait clairement son temps à s’occuper de moi. Elle ne pouvait pas avoir une vie de famille tout à fait normale. Quoi que, ce n’était pas tellement la seule. Je ne voyais presque jamais mes parents, je n’avais pas la chance d’être blottit dans les bras de ma mère. Mon père ne prenait pas le temps de m’apprendre à marcher ou à jouer au foot. Au final je n’ai pas eu de bon souvenir de mon enfance, j’étais un gosse oublié par ces parents. Pour eux c’était logique, pour moi ce ne l’était largement moins. Avoir des parents très riches c’est insupportable, c’était comme si j’avais des fantômes à la place de mes parents. Je ne les voyais jamais, je ne pouvais jamais leurs parler. J’ai appris à parler et à marcher grâce à ma nounou. C’est avec elle que j’ai passé les meilleurs moments de ma vie, ce n’est malheureusement pas avec mes parents. Que voulez-vous, je n’avais pas le droit d’aller à l’école. Non ils ne voulaient pas que je ruine leurs réputations, ils avaient payés des professeurs pour qu’ils viennent me faire cours. Je ne connaissais personne de mon âge. Je n’avais plus cette petite flamme dans mes yeux qui montrait la joie que j’avais en moi. J’étais toujours enfermé dans ma chambre, allongé sur mon lit avec la seule photo de mes parents et moi contre mon cœur. Les larmes coulaient lentement le long de mes joues, la fatigue prenait le dessus et je m’endormais jusqu’au lendemain. Ma vie était ainsi et je ne pouvais la changer, je vivais dans l’ombre de mes parents. Je devais en permanence faire attention à ce que je disais, en permanence rester chez moi et ne jamais sortir. Mais il faut bien tourner la page un jour. J’avais douze ans, je suis partit de chez moi sans rien dire. Je suis partit loin de cette maison, traversant la ville que je n’avais jamais vraiment connu. Je ne connaissais personne et à vrai dire je ne savais pas ou j’allais aller. Je me posais tranquillement dans un parc, la nuit commençait à tomber. Mon portable ne faisait que de sonner et je ne répondais pas, je le laissais sonner dans le silence de la nuit. Je m’en fichais royal s’ils s’inquiétaient ou s’ils me cherchaient partout. Après tout j’avais le droit de vivre et de profiter du soleil, de la pluie ainsi que de la belle ville ou je vivais. Je suis resté un peu près trois heures dans ce parc avant de m’endormir sur l’un des bancs. C’est à environs trois heures du matin que trois policiers m’ont réveillé et m’ont amené au poste le temps que quelqu’un vienne me chercher. J’étais assis sur l’une des chaises face à un policier qui me parlait tranquillement. Au moins un qui prenait le temps de me parler pour essayer de comprendre ce qui m’avait poussé à partir d’un seul coup sans prévenir. Je n’avais pas décroché un mot et dans mes yeux reflétait la tristesse. Je n’étais plus l’enfant joyeux que j’étais quand j’avais un an. Quand mes parents arrivèrent c’était la scène et une grande gifle était venue se poser sur ma joue droite qui devenait légèrement rouge. Je repartais derrière mes parents, la tête basse et jusqu’au manoir personne n’avait parlé. C’était le silence complet, j’étais partit m’enfermer dans ma chambre et je n’y étais pas ressortit avant deux jours. Je restais posé sur mon lit et je ne faisais rien d’autre, je dormais et j’essayais de m’imaginer une belle vie dans mes rêves. Des choses qui n’arriveraient jamais c’était obligé.

Les années suivantes ont été plus dure que les autres, après un accident de voiture. Mon père à trouvé la mort et il est partit rejoindre mon grand-père dans le ciel. A vrai dire, je ne vais pas le cacher ça ne m’avait pas fait grand-chose. Je ne connaissais pas mon père et je ne l’appelais jamais « Papa » je devais l’appeler par son prénom : Mark. L’ambiance n’était plus du tout la même, ma mère passait son temps à pleurer et restait enfermé dans sa chambre. Je ne pouvais rien faire, car dès que je m’approchais d’elle et bien elle m’hurlait dessus ou me mettait une gifle. J’ai donc décidé depuis ce jour-là de ne plus me laisser avoir, de ne plus être une marionnette qu’on dirige en tirant les ficelles. Quelques mois après ma mère avait décidé de me mettre au collège, elle ne voulait plus payer pour qu’on m’apprenne comment écrire ou autre. Alors pour la première fois de ma vie j’avais franchis le grand portail du collège et j’étais dans une classe de mon niveau. En peu de temps j’avais réussi à m’intégrer et je m’étais vite fait des amis. La joie de vivre était de nouveau présente, je n’avais jamais autant rigolé de ma vie. Je jouais à pleins de jeu, j’apprenais des mots qui étaient inexistants chez moi. J’avais l’impression que la roue avait tournée et ma vie commençait seulement. J’allais rattraper toutes les années que j’avais perdues. Les années sont passées et j’augmentais dans les classes, je devenais une personne très intelligente. J’avais à présent dix-sept ans et à vrai dire ma vie à changé quand je suis arrivé dans une école supérieur. J’ai commencé à partir sans rentrer chez moi pendant plusieurs journées, je dormais sois disant chez des amis. Au final je finissais toujours mort, avec un gramme d’alcool dans chaque bras en train de dormir dans le parc municipal. Je n’étais plus le même jeune homme aussi sage qu’avant, je buvais et je fumais. Je ne le cachais pas à ma mère, je fumais devant elle et je buvais des bières à table. Enfaite je me vengeais de tout ce qu’elle avait pu me faire subir avec mon père. Je lui parlais comme un chien, je l’envoyais chier en permanence. Je me foutais de sa gueule, enfin bref j’en avais plus rien à foutre d’elle. Je n’avais qu’une seule envie c’était juste de partir de cette ville et d’aller habiter loin de chez ma mère. Je voulais la laisser seule comme elle m’avait toujours laissé seul. Ce n’était qu’une pure vengeance, au fond de moi je sais que ma mère reste ma mère. Qu’un jour ou l’autre je retournerais vers elle, mais j’avais envie à la fois de lui montrer comme j’ai été blessé. Alors que je me trouvais en soirée avec des amis, nous avions terminé la soirée dans une autre soirée chez des personnes inconnues. Il y avait des belles demoiselles un peu partout. Cette soirée fut un pur délice, boire comme on le désire et fumer ce qu’on trouve. Faire de nouvelle connaissance, danser jusqu’au bout de la nuit pour terminer dans la chambre d’une inconnue en compagnie d’une belle brune. Le lendemain matin celle-ci n’était plus là, je n’avais pas réfléchis un peu plus. J’étais partit et je rejoignais la demeure familiale pour dormir un peu plus. Deux jours passaient et soudain quelqu’un venait tambouriner à ma porte et quand celle-ci s’ouvrait c’était ma mère. J’étais convoqué au commissariat pour viol. Pendant des heures j’ai du m’expliquer au côté de mon avocat ainsi que de ma mère. Au final cette affaire fut étouffée grâce à de l’argent et de nombreux arguments. J’ai donc décidé de partir de cette ville, recommencer une nouvelle ville loin de là et me consacrer plus sur les études qu’autre chose. J’ai donc décidé de partir à Gisborne. Une ville plutôt tranquille contrairement à Los Angeles, en effet ce n’était pas du tout pareil. Mais je n’avais pas tellement le choix, je devais tourner une page sur mon passé et passer à autre chose. Quitter mes amis et quitter ma ville natale pour reprendre correctement les études. Je vivais donc dans un appartement avec une autre personne bien plus grande. A l’âge de vingt ans grâce à l’argent de ma mère je me prenais un logement près de mon université. Je suis redevenu une personne qui pense tout d’abord à ces études et son avenir qu’aux soirées. Malgré tout, je n’oublie pas vraiment ce qu’il s’est passé et je me rappelle de tout grâce à ces photos accrochées sur mon mur. Ces soirées en boite de nuit ainsi qu’au bar, des soirées tante autour d’un feu de camp. Des vacances entre potes à la plage dans un camping en France que demander de plus ? Les années sont passées tellement rapidement, j’ai décidé de retourner en soirée et de profiter un peu de ma vie. Sans me mettre minable, maintenant je fais vraiment attention. J’étais en couple depuis un moment, mais plus rien n’allait. Je ne supportais pas de la voir avec tous les autres mecs alors qu’elle était soi-disant avec moi. En peu de temps je l’avais viré de mon appartement et je l’avais vite oublié. J’avais passé à autre chose, sortant avec des amis à se faire des soirées console ou autre. Jusqu’à ce que je reçoive un sms : « Tu as un fils Peeta, il a maintenant sept ans. Ca serait peut-être bien que tu le vois malgré ce que tu as peu me faire à seize ans… Je ne peux pas continuer à lui mentir. » C’était cette fille avec qui j’avais eu ce problème lors d’une soirée. Comment pouvais-je tourner la page après ce que j’avais pu lui faire endurer, comment pouvait-elle me le pardonner ? Après quelques messages échangés, deux mois après celle-ci arrivait avec ce petit bonhomme.

Depuis que je suis installé dans cette ville, rien ne s’est vraiment passé. C’était toujours très calme jusqu’à ce qu’une dispute éclate. A vrai dire on pouvait penser à une dispute entre mari et femme comme toujours, mais là… C’était différent, cette engueulade avait tout simplement provoqué une grande guerre. En effet les hommes contre les femmes et bien sûr, je ne pouvais pas laisser cette guerre filer entre mes mains. J’en fais donc partit, attention les hommes vont gagner c’est obligé. Mais que va penser mon fils de tout ça et cette fille que je connaissais à peine?

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